Ce matin, la culpabilité s’est invitée dans mon cabinet.
Deux rendez-vous de suite de personnes qui culpabilisent et qui me demandent : comment arrêter de culpabiliser? Lire la suite
Ce matin, la culpabilité s’est invitée dans mon cabinet.
Deux rendez-vous de suite de personnes qui culpabilisent et qui me demandent : comment arrêter de culpabiliser? Lire la suite
L’accompagnement en sophrologie pourrait se résumer en un éveil ( un réveil?) de la conscience nous permettant de mieux sentir- d’abord ce qui se passe en nous – être plus conscients de nos tensions et sensations de confort, de notre respiration, nos pensées, nos limites, mais aussi de nos qualités, ressources et compétences et surtout de nos émotions qui sont des indicateurs très précieux de notre réaction à notre environnement. Ensuite, la sophrologie nous enseigne à être plus conscients de nos places et relations à notre environnement en affinant nos sens, vue, toucher, ouïe, odorat, goût ….
Lorsque nous avons toutes ces information internes et externes sur notre environnement, nous prenons des décisions bien plus justes (dans le sens de justesse) pour nous mêmes.
Etre plus conscient c’est avoir une bonne qualité d’informations pour de meilleures décisions ; des décisions qui nous font OUI à l’intérieur
Chaque jour, dans mon métier, j’ai les compétences pour accompagner cette prise de conscience de soi.
J’ai pourtant été fort dépourvue, la parentalité venue… Lire la suite
Qu’on le dise une bonne fois pour toutes !
Lorsqu’un être humain est en colère, triste ou effrayé, notre attitude est souvent maladroite alors que bien intentionnée !
A une personne en pleurs nous dirions peut être » Aller, ça va aller, c’est rien, ça va passer, ne pleure plus… », à une autre en colère « Mais calme toi ! respire, arrête de parler si fort. Calme toi « ,enfin , à une personne effrayée » C’est rien, ne t’inquiète pas. N’y pense pas, tu te fais trop de films là »
L’intention est bonne : soulager la personne, l’aider à passer le cap, faire taire cette émotion pour qu’elle se sente mieux.
Oui mais …. Lire la suite
Tous les ans depuis quelques années déjà, j’ai laissé tomber les résolutions de la nouvelle année pour convenir avec moi-même des objectifs que je veux atteindre dans l’année parce qu’ils sont importants pour moi.
Et cela a changé beaucoup de choses. Lire la suite
Notre vie est faite d’expériences heureuses, malheureuses et plus neutres. Lorsque ces expériences sont malheureuses, il est souvent difficile de se dire, voire de s’imaginer pouvoir en retirer quelque chose de positif. Et d’ailleurs, sur l’instant, ce n’est pas forcément le cas… Quelques temps ( ou années…) après, nous pouvons nous dire bien plus aisément ce que nous en avons retiré, une fois la douleur apaisée. Lire la suite
Comment parlez-vous votre corps? Un peu, beaucoup, pas du tout ? En négatif, en positif ?
Notre façon de parler de nos sensations physiques est très révélatrice de notre rapport à notre corps.
« J’ai mal à la tête, ça fait comme un étau » « J’ai un poids sur la poitrine » « je suis tendue » Lire la suite
Une petite histoire métaphorique que j’aime beaucoup, alors je partage :
Une vieille dame chinoise possédait deux grands pots, chacun suspendu au bout d’une perche qu’elle transportait appuyée derrière son cou. Un des pots était fêlé alors que l’autre pot était en parfait état et rapportait toujours sa pleine ration d’eau. Lire la suite
On : pronom indéfini et pronom personnel
Fut un temps, il était grossier, voire vaniteux d’user du « je » pour parler de sa petite personne. Bien trop égocentrique…. Lire la suite
Lorsque l’on dit « bonjour » à quelqu’un, n’est-il pas sous entendu que ces mots soient censés lui souhaiter une bonne journée ? Si ?Ah !
Alors si nous nous remémorons nos derniers « bonjour » ; pour combien d’entre eux étions nous vraiment connectés à nous mêmes et dans cette intention d’un souhait de bonne journée à notre interlocuteur ? Lire la suite
Souvent, quand nous communiquons avec une personne qui a un problème, et davantage encore avec nos proches, et plus encore avec nos enfants, nous avons tendance à être un peu trop collés à ce que l’Autre ressent. Ce qui, d’une part nous empêche de l’aider autant que nous le voudrions, et d’autre part nous fait nous sentir mal, comme « contaminé » par l’émotion. Lire la suite