Lorsque j’ai découvert les ouvrages d’Aletha Solter, je me suis à la fois sentie séduite par cette idée de fonction excrétoire des larmes des bébés, de leur besoin de pleurer pour se décharger, se réparer mais mal à l’aise avec la méthode « je laisse pleurer dans mes bras, en regardant bien dans les yeux, sans bercer, ni caresser, ni chanter, ni rien « d’artificiel »…. » (ceci est ma façon de résumer)