Ce matin, la culpabilité s’est invitée dans mon cabinet.
Deux rendez-vous de suite de personnes qui culpabilisent et qui me demandent : comment arrêter de culpabiliser? Lire la suite
Ce matin, la culpabilité s’est invitée dans mon cabinet.
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« Si un parent décide d’abandonner le pouvoir, cela ne veut certainement pas dire qu’il va cesser d’avoir de l’influence »
Thomas Gordon
Comment rester bienveillants lorsque les enfants sont malades ?
Lors de maladies courantes, « ordinaires », et cependant désagréables à vivre, ou lors d’un geste douloureux ou effrayant, comme une prise de sang, un vaccin, des points de suture…
Et plus difficile encore, au moment d’une urgence ou lorsqu’une maladie grave vient bouleverser toute une famille ?
Comment parents, soignants pourraient faire (ou plutôt être et dire) pour que les enfants se sentent respectés, plus en confiance et à même de puiser dans leurs ressources pour gérer la situation ?
1er thème de cette série : Accompagner un enfant pour un geste médical (vaccin, piqûre ou tout autre geste effrayant, douloureux ou vécu comme tel !)
« L’expérience, ce n’est pas ce qui arrive à quelqu’un.. mais ce que ce quelqu’un fait de ce qui lui arrive »
Aldous Huxley , écrivain britannique 1894-1963
Lors de notre dernière rencontre des ateliers « Parler pour que les enfants écoutent…. » nous avons abordé le sujet de la promesse. En effet, pour nombre d’entre nous c’est très important de tenir les promesses faites à nos enfants et d’apprendre à ces derniers à tenir les leurs.
De mon côté, cette histoire de promesses a un écho tout autre… Lire la suite
« Comme le bonheur se savoure (souvent sans qu’on ait besoin de mots) et que le malheur se décortique ( on rumine, on ressasse, on gémit, on se plaint…), le second donne l’impression d’être plus riche et intéressant. Il est juste plus bavard »
Christophe André
« Et n’oublie pas d’être heureux »
Abécédaire de psychologie positive
L’accompagnement en sophrologie pourrait se résumer en un éveil ( un réveil?) de la conscience nous permettant de mieux sentir- d’abord ce qui se passe en nous – être plus conscients de nos tensions et sensations de confort, de notre respiration, nos pensées, nos limites, mais aussi de nos qualités, ressources et compétences et surtout de nos émotions qui sont des indicateurs très précieux de notre réaction à notre environnement. Ensuite, la sophrologie nous enseigne à être plus conscients de nos places et relations à notre environnement en affinant nos sens, vue, toucher, ouïe, odorat, goût ….
Lorsque nous avons toutes ces information internes et externes sur notre environnement, nous prenons des décisions bien plus justes (dans le sens de justesse) pour nous mêmes.
Etre plus conscient c’est avoir une bonne qualité d’informations pour de meilleures décisions ; des décisions qui nous font OUI à l’intérieur
Chaque jour, dans mon métier, j’ai les compétences pour accompagner cette prise de conscience de soi.
J’ai pourtant été fort dépourvue, la parentalité venue… Lire la suite
J’ai regardé en replay un documentaire sur Arte intitulé « L’enfance sous contrôle », et je me suis sentie très mal à l’aise.
Lorsque j’écoutais ce psychologue canadien Richard E Tremblay nous dire que l’on peut prédire dès l’âge de 3 ans- par des troubles des conduites – les tendances à la délinquance d’un enfant – je sentais la révolte gronder en moi. Et lorsqu’il ajoute qu’il fallait s’en occuper – par des mesures médicales et psychologiques- au plus tôt, je grognais encore plus ! Je vais essayer de développer mon point de vue… Lire la suite
« Que la force me soit donnée de supporter ce qui ne peut être changé et le courage de changer ce qui peut l’être, mais aussi la sagesse de distinguer l’un de l’autre »
Citation attribuée à Marc Aurèle ( 121-180) Empereur et philosophe
Qu’on le dise une bonne fois pour toutes !
Lorsqu’un être humain est en colère, triste ou effrayé, notre attitude est souvent maladroite alors que bien intentionnée !
A une personne en pleurs nous dirions peut être » Aller, ça va aller, c’est rien, ça va passer, ne pleure plus… », à une autre en colère « Mais calme toi ! respire, arrête de parler si fort. Calme toi « ,enfin , à une personne effrayée » C’est rien, ne t’inquiète pas. N’y pense pas, tu te fais trop de films là »
L’intention est bonne : soulager la personne, l’aider à passer le cap, faire taire cette émotion pour qu’elle se sente mieux.
Oui mais …. Lire la suite