« Comme le bonheur se savoure (souvent sans qu’on ait besoin de mots) et que le malheur se décortique ( on rumine, on ressasse, on gémit, on se plaint…), le second donne l’impression d’être plus riche et intéressant. Il est juste plus bavard »
Christophe André
« Et n’oublie pas d’être heureux »
Abécédaire de psychologie positive